L'histoire des Lames de Planpraz.
Cette histoire ce déroule dans les aiguilles rouges. Avec moi, ils y avait des jeunes potes, Jean Charles 14ans, Romain son frère jumeau, Jonathan 15ans et moi-même 18ans. On partie tous dans le transporteur pour un voyage de 3 heure de route, avec plein de délire dans la voiture. Notre but, retrouver des gens qui son déjà la bas, et qui font partie de mon club de montagne.
Arriver sur les lieux, nous trouvons Arnaud, Michel, Frédérique et Dédé, tous plus de 30 ans. Première journée, monter au pied des voies, et comme on se balade avec les vieux, on prend la télécabine. Les petits joueurs.
On arrive enfin au camp bivouac. On pose nos tente et notre bouffe. On prépare notre matos d'escalade, et on par pour la première voie qui est le petit chamois, ou un truc comme ça (en, fait je me souvient plus du nom, mais je sais que c'était une voie facile
). Arriver en haut, tout ce passe bien, on mange la carotte de l'amitié et on redescend tranquillement par derrière.
La nuit fut très mouvementé. Car un problème survient, on dort a la belle étoile, et malheureusement il pleut. Nous décidons quand même de chercher un abri qu'on trouva vite fait. On n'a dormie sous les télésièges
Dans le petit bâtiment, ou les télésiège sont entreposer, nous trouvons une planche en bois. Et comme il y avait un petit névé en contre bas, nous décidons de faire un peu de surfe avec. Mais en descendant nous trouvons une échelle ou il y a une barre pour monter plus facilement. L'idée qui me vient en tête, faire de la luge avec.
Nous allons sur le névé, et commençons à faire les fous, et le jeu devient vite de faire la luge en caleçon et de se bourrer pour faire tomber l'autre dans la neige :p .
Arriver vers les 1h du matin, nous décidons d'aller nous coucher, car le lendemain matin, on doit se lever a 6h30 pour faire une autre voie.
Le lendemain matin, nous allons grimper une autre voie, facile mais le problème c'est que nous somme obliger de prendre une autre voie pour éviter un passage assez dangereux, et étant le premier de cordé de tous le groupe. Vieux comme jeune, j'avais la dur responsabilité de bien choisir la voie pour risquer aucun danger.
Nous arrivons au sommet sans trop de problème, maintenant nous devons redescendre en rappel. En tous 8 rappel a faire avant que la nuit tombe. Mais surtout avant que les télécabines, soient fermé, car les vieux doivent partir et nous laisser faire la suite ou nous avons prévu de faire des choses bien plus dur.
Mes potes et moi dormons dehors, la pluie ne tombe pas mais les nuages sont la. Quand on se lève le lendemain matin, nous partons faire l'index, une voie facile ou nous pouvons nous entraîner, mais surtout ou je peux montré les plus grande manip à connaître pour un des deux jumeaux. Car nous allons être en cordé de double, donc les des jumeaux ensembles et moi avec Jonathan. Donc je dois vite leur apprendre certaine chose avant de faire l'un des truc les plus dangereux qu'ils auront fait de leur vie a eux.
La nuit ce passa tranquillement, sans pluie, sans nuage, et même nous avons eu le temps de faire une petite table avec des pierres pour que nous puissions manger tranquillement.
Le lendemain, nous partons faire la chapelle de la Guiliere, mais le problème, c'est que nous avons pas le topo, donc nous partons à l'aveuglette, mais nous trouvons un chemin, jamais pratiquer, mais faisable, malheureusement l'orage pointe son nez, et nous somme obliger de faire demi tour.
Pendant cette fin de journée nous fabriquons des chaises à notre table.
Le lendemain, une des journées les plus dure, nous faisons notre sac a dos ou nous devons prévoir plus de 6 litres d'eau chacun, que nous faisons avec la neige fondu, ou nous devons porter tout notre matos , ou nous devons laisser rien derrière notre passage. Le sac pèse plus de 30Kilo et avec ce sac nous devons faire une marche en altitude qui est long de plus de 5 Km, et ou les monter et descente sont toujours la pour nous ralentir.
Arrivé près de notre objectif, Les Lames de Planpraz, nous regardons au déçu de nous. Deux problème ce lève a nous, le premier, c'est que la monter a notre objectif est bien plus raide que je le pensais et surtout qu'il n'y a aucun chemin pour y aller, deuxième problème c'est que l'objectif, nous ne le voyons pas, nous savons pas si nous somme encore loin ou même si nous somme au bon endroit. Nous partons tous ensemble dans la monter impossible avec nos sac qui pèse très lourd. Un des jumeaux, n'en peux plus, je lui prend la moitié de son sac, mon sac devient carrément super lourd, mais le problème c'est que mes potes ne commence a plus y croire a ce sommet mythique, je leur dis de se reposer ici, dans un endroit relativement en sécurité, et je pars en solo pour chercher le sommet. Arriver près d'une brèche, je me dis que je vais decu et si je ne l'a voie pas, je retoure près de mes potes, et que nous ferrons demi tour.
Voilant la brèche vraiment près, je commence a perdre espoir, et en arrivant a la brèche, je perd complètement espoir, je ne voie pas les Lames de Planpraz… Les larme au bord de tomber, je décide donc de faire demi tour, dépiter d'être aller aussi loin pour ne rien faire, mais pire, d'avoir risquer a ce point notre vie pour rien. Et oui, j'ai bien dit risquer notre vie, car nous ne pouvions pas nous encorder, et le moindre faut pas c'est uns chute mortelle.
Je me retourne pour descendre de la brèche, et qu'est ce que je voie juste devant moi à moins de 5 mètres, trois petits piques. Oui j'en revenais pas. Je venais de trouver les Lames de Planpraz.
Je crie a mes potes que j'avais enfin trouver les Lames, et que pour y aller, il fallait un peu près 20minutes encore de marche, et je leur dis que j'allais descendre pour les récupérer.
Arriver près de mes potes, je pris le sac de Jonathan et mis dedans un peu du sac d'un des jumeaux. Et repartie avec eux au pied des lames. Toujours avec une pente de plus de 70 degré, toujours pas encordé, nous escaladons doucement pour ne pas faire de faut pas.
Nous arrivons enfin au sommet. Mes potes rigoles et regarde les lames, ils étaient fou, car il allait faire l'un des sommet que juste les plus grand alpinisme ont fait, et eux juste de jeune grimpeur allait pouvoir faire. Nous cherchons allons sur une petite vire pour manger et nous coucher. Au moment de nous coucher, nous mettons nos boudriler et pour être en sécurité pendant la nuit. Mais encore une fois pendant la nuit, nous avons des problèmes, le premier, qui se trouvant carrément chiant, ce sont les mouches, nous ne savons pas comment elles sont venu, surtout a cette hauteur ou il y a rien sauf du rocher. Mais nous arrivons quand même à dormir, et c'est la ou les problème sont arrivé.
Pendant la nuit, a environs deux heures du mat, l'orage éclate, nous nous retrouvons a être surcharger de métal a cause de la sécurité, près d'un des piques des lames, avec une couverture de survie pour nous protéger de la pluie qui tombait a verse. L'orage tombait toujours et s'intensifiait, la dure décision de balancer la couverture de survie était prise, nous avions donc plus rien pour nous protéger. Pire nous décidons de poser tout ce qui est métal a 5 mètres de nous, nous avions donc plus aucune sécurité. Je décide de faire une sécurité en sachant que j'allais perdre une corde, qui coûte plus de 100 euros, snif… Mais je n'ai pas le choix. La pluie tomba jusqu'à 5heure du matin, mais l'orage c'était arrêté bien avant, et pendant la nuit, je leur ai donner a mes potes, la seul protection que j'avais contre la pluie. Un large manteau. Mes potes pu dormir un peu pendant la pluie, moi me retrouvant en tee-shirt et en short sous la pluie avec une température qui frôle le zéro.
Le lendemain matin, la voie que nous devons faire, la fameuse voie, et complètement tremper. Donc déjà une voie équiper qui est tremper, c'est du suicide a faire en tête, mais la une voie en TA (Terrain d'aventure = non équipé) c'est avoir un pied dans la tombe directe. Nous décidons d'attendre, en sachant que dépasser les 14heures, nous devrions descendre absolument, sinon nous pourrions plus descendre, et que nous avions plus assez de bouffe pour rester une nuit, mais pire que nous avions plus d'eau.
Par chance, le vent fit sécher la voie, nous pouvons quand même commencer a grimper, et il est que 11h.
Comme vous pouvez le voir sur les photos que j'ai mise, je grimpe sur tout les Lames
nous prenons plein de photo, malheureusement les nuages qui menaçait nous cachait le mont blanc. Mais cela nous empêcha pas de faire des photos quand même.
Mais au moment ou nous décidons de partie, nous voyons l'heur ou il était 15h dépassé. Deux solutions se porte a nous, on reste ici sans manger sans boire et on redescend demain. Cette possibilité n'ai pas envisageable, ou nous redescendons quand même en faisant le plus attention possible, et en se dépêchant le plus.
Premier rappel un de pote manque de se tuer en chutant, sur plus de 5 mètres. La peur commençait a monter chez mes potes. Je prend encore les choses en mains et leur dit qu'on n'a pas le temps et que nous devons repartir le plus vite. Nous devons pas traîner. Malheureusement une pierre tombe, une pierre grosse comme un gros pot de Nutellla, et atterrit sur le coude de Jean Charles, Nous regardons son coude ou le sang coulait abondement, lui faisons un Garo et partons encore plus vite. Nous ne pouvions pas appeler les secours, les nuages ne le permettais pas. Arriver enfin sur un chemin, nous crevons de soif, nous trouvons une flaque d'eau sur le chemin, nous buvons tous une gorgé. Nous repartons et fini notre marche, en buvant tout ce que nous trouvions.
Nous arrivions enfin a Cham, nous partons directe a la maison.
Le lendemain, Jean Charles me téléphone en me disant que son coude aurait du avoir 7 points de souture, mais que nous avions trop attendu, donc il n'a rien eu.
Cette histoire est vrai du début jusqu'à la fin. J'ai même préféré enlevé certain passage, car ça devenait vraiment gros. Il ne faut pas oublier, que moi j'avais 18 ans, et mes potes 15 et 16ans.
Et quand je dis que les Lames de Planpraz on été fait que pas les plus grand alpinisme, c'est presque vrai, je dis presque, car peut de personne save ou elle se trouve. Et que pour y aller, il faut en vouloir. Il n'y a aucun chemin, ni aucun topo qui en parle.
Les sac été vraiment lourd. Et en conclusion, j'ai perdu presque 10Kilo en une semaine de follie.
Il faut savoir que nous comme près moi et mes potes a y retourné pour faire de plus belle photo encore. Mais cette fois si, nous avons un matériel de pointe, et nous avons surtout plus d'expérience, surtout eux…